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Lesprix sont en constante augmentation et le marché des fruits et légumes n'échappe pas malheureusement pas à ce qui est visiblement devenue une règle, et ce, au grand désarroi des petites bourses. Pour l'exemple, la courgette n'est pas cédée à mois de 120 dinars, la pomme de terre (100 DA), les carottes (75 DA), la Salade (120 DA) et la tomate (120 DA) Notreagriculture doit etre encore soutenue davantage pour produire et diversifier ses recoltes le long de toutes les saisons.L Etat doit penser a mettre a la disposition des producteurs une logistique valable pour leur permettre d exporter leurs produits dans le monde entier.Quand je vais dans un hypermarche en Europe je trouve des produits de l amerique du Ilsse vendent désormais à 170 et 180 DA/kg, selon les marchés, soit une augmentation minimum de 30 à 40% par rapport au prix pratiqué avant cette occasion. L’augmentation touche pratiquement tous les légumes utilisés durant ce mois, à l’image de la carotte (100 DA), la courgette (120 DA), la pomme de terre (80 DA), l’oignon (80 Algérie jeudi, août 11, 2022 Se connecter. Bienvenue ! Connectez-vous à votre compte : votre nom d'utilisateur. votre mot de passe. Forgot your password? Get help. Récupération de mot de passe . Récupérer votre mot de passe. votre email. Un mot de passe vous sera envoyé par email. L'express DZ. National; Politique; Economie; Monde; Région; Lacourgette est cédée entre 100 et même à 120 DA (contre 60 DA une semaine auparavant), la carotte entre 80 et 120 DA/kg et les aubergines entre 70 et 80 DA/kg. Les prix de l’oignon et de la pomme de terre sont, par contre, restés quasiment stables, et s’affichent entre 40 et 50 DA/kg. Les étals du marché de Bachdjarah affichaient, en revanche, des prix Site De Rencontre Sans Abonnement Payant. Accueil > ECONOMIE > Le marché des fruits et légumes en Algérie peu mûr Les prix des fruits et légumes s’annoncent chers pendant le ramadhan en Algérie ce qui confirme encore une fois la fragilité de l’agriculture algérienne. Les prix des fruits et légumes vont connaître une hausse sensible en Algérie au cours des prochains jours. Cela n’est pas uniquement dû à la spéculation qui accompagne l’arrivée du mois sacré du ramadan, mais aussi à la fin des récoltes. Il s’agit surtout des marchés qui s’approvisionnent de la Mitidja et des régions avoisinantes. Cette annonce a été faite par les représentants de l’UGCAA Union générale des commerçants et artisans algériens. Présent à ce point de presse, le gérant d’un marché de gros dira que la fin des récoltes dans la région nord de l’Algérie va indubitablement conduire à la hausse des prix des légumes. Les fruits ne sont pas concernés, en attendant que la production des Hauts-Plateaux vienne en appoint. Il a aussi été souligné que cette situation ne concerne pas la pomme de terre. Des stocks suffisants sont disponibles », a-t-on précisé. Le conférencier a voulu lever l’ambiguïté sur les prix appliqués au niveau des marchés de gros des fruits et légumes en Algérie. Les vendeurs au détail se cachent souvent derrière cet argument pour justifier les prix qu’ils pratiquent », a-t-il été souligné. A titre d’exemple, il a été mentionné qu’au marché de gros actuellement, la courgette se vend à 35 DA, la tomate entre 15 et 20 DA, le mange-tout à 45 DA, l’oignon à 15 DA. L’orateur a rappelé que les prix sont libres. Ce n’est pas de notre faute si le commerçant décide d’une marge bénéficiaire de 200 %. Il appartient au citoyen d’adopter une conduite d’achat responsable, de manière à bouder les produits dont les prix sont démesurément augmentés, rappelle-t-on. Relancé par les journalistes sur la régulation des prix, le représentant des marchands de gros rappellera que les prix des fruits et légumes en Algérie sont libres. Il n’en demeure pas moins, qu’anciennement, le marché obéissait à une règle. Il s’agit du cœfficient de multiplication selon l’éloignement. Cet instrument définit le prix du produit chez les grossistes. Pour la marge bénéficiaire des vendeurs finaux, cette dernière était fixée à 25 % pour les légumes et à 30 % pour les fruits. Les représentants des commerçants et artisans prévoient aussi la coutumière hausse des prix durant les 3 ou 4 premiers jours du mois de ramadan, avant que la situation ne revienne à la normale. Par Mourad, le Soir d’Algérie Depuis des mois, les citoyens algériens font face à une flambée des prix de tous les produits alimentaires. Par conséquent un pouvoir d’achat qui s’amoindrit de jour en jour avec des prix atteignant des sommets. Les fruits et légumes qui font partie intégrante de l’alimentation des Algériens, connaissent une hausse fulgurante, et ce même pour les produits de saison. La série de prix élevés des légumes et des fruits en Algérie se poursuit. Les différents marchés du pays connaissant ces jours-ci encore des niveaux records, surtout avec les légumes de saison. Ce qui soulève l’étonnement des consommateurs, mais aussi des marchands de fruits et légumes, et ce vu la disponibilité de beaucoup de produit durant la saison d’été. Ces derniers jours, le prix des tomates était entre 120- 160 dinars, alors que ces dernières sont des fruits de saison ; alors que le prix des piments doux est compris entre 100 et 130 dinars et le piment vert a atteint les 200 dinars. Quant à la carotte, son prix varie entre 60 et 70 dinars algériens. On trouve aussi les haricots verts, qui sont cédé à pas moins de 160 dinars, alors que c’est un légume de la saison d’été. Ce qui pousse les citoyens à se poser des questions, c’est le fait que ces fruits et légumes, soient de saison mais que les prix ne baissent pas. A l’approche de l’Aid Al-Adha, les moutons vendus à des prix exorbitants Les prix actuels des moutons sur le marché ont connu une flambée et selon un éleveur de moutons de la Wilaya d’Ain Defla, le prix de la brebis varie entre 35 000 et 45 000 Da, tandis que les prix de l’agneau se situe entre 30 000 Da et 40 000 Da. Pour le prix des moutons, il débute à 50 000 Da et peut atteindre les 90 000 Da ou plus. Selon Ibrahim Amrani, les citoyens algériens ont commencé à se rendre dans les marchés des moutons, mais uniquement pour se renseigner sur les prix de ces derniers, en précisant que le prix de l’ovin peut atteindre les 100 000 Da pour un grand mouton en bon état physique. Rien n’échappe à la tendance de l’augmentation puisque les prix des pâtes alimentaires, fruits et légumes, féculents et légumes secs ont tous connu une hausse depuis le début de l’année 2021. Une cherté qui vient porter le coup de grâce au pouvoir d’achat du citoyen déjà affecté par une année de crise sanitaire. Par Thinhinene KhouchiLa majorité des prix des produits agricoles, les prix des légumes secs, des pâtes et autres ont enregistré une augmentation depuis le début de l’année en cours. En effet, depuis le début de la crise sanitaire à ce jour, les prix des différents produits alimentaires de large consommation n’ont pas cessé d’augmenter au niveau national. Ceux des produits alimentaires ont, en moyenne, augmenté de 5 %. Afin de constater cette hausse, un tour dans les différentes surfaces de denrées alimentaires de la capitale ainsi que les marchés s’est imposée. Au niveau du rayon pâtes, on remarque rapidement une augmentation. Le kilo de couscous, à titre d’exemple, est à 150 DA contre 110 DA il y a quelques semaines seulement. Le paquet de pâtes de 500g est affiché à 65 DA. Le prix d’un kilo de riz dépasse les 120 DA. Du côté des légumes secs, les lentilles sont à 180 DA, les haricots secs à 290 DA. Concernant les légumes au niveau des marchés, la pomme de terre est proposée à plus de 55 DA, les tomates à 80 DA, les oignons à 60 DA. Pour ce qui est des fruits, les oranges sont proposées à 160 DA, mandarines et bananes sont affichées entre 200 et 250 DA. À propos de la flambée des prix, le président de l’association El Aman» pour la protection les consommateurs, Hacène Menouar, a estimé que le déséquilibre entre l’offre et la demande, le manque de marchés de proximité et l’absence de contrôle sont les raisons de cette augmentation». On demande à ce qu’il y ait un contrôle, à commencer par l’industriel avec un sous-détail des prix, afin de comprendre si c’est une entente entre les opérateurs pour faire augmenter les prix ou si la hausse est justifiée», a ajouté le même responsable, estimant que c’est la seule solution en vue de garantir le respect des prix. En revanche, un autre responsable de la même organisation considère que le facteur responsable de cette hausse des prix serait la dévaluation du dinar», ce qui implique que tous les produits importés, notamment ceux de la matière première, ont subi une augmentation. Augmentation prochaine de tous les produits contenant du sucre…Les jus, gâteaux, yaourts, boissons gazeuses et tous les produits qui nécessitent du sucre dans leur fabrication vont connaître une hausse engendrée par l’augmentation de 10 % du prix du sucre chez les fabricants depuis dimanche dernier. Cette déclaration a été faite par le président de l’Association algérienne de protection et d’orientation du consommateur et son environnement Apoce, Mustapha Zebdi, qui a dénoncé ces augmentations anarchiques et injustifiées. De son côté, lors de son passage sur une chaîne privée, Hadj Tahar Boulenouar, président de l’Association nationale des commerçants et artisans, a assuré que le sucre destiné à la consommation ne connaîtra pas d’augmentation car son prix est officiellement fixé à 90 DA depuis 2011. Mais concernant les fabricants des produits qui contiennent du sucre qui ont dû acheter cette matière première au prix nouveau, effectivement, ils vont augmenter le prix de leurs produits», dira Boulenouar, précisant que si le prix de la matière première a augmenté, il est normal que le prix de la matière produite augmente systématiquement». Il citera les produits qui vont donc connaître des augmentations, notamment les jus, gâteaux secs, boissons gazeuses, miel, confiture, bonbons, chocolat, les pâtes qui contiennent du sucre aussi et autres produits contenant cette matière première. En outre, Boulenouar a tenu à souligner que les fabricants doivent informer les citoyens quant à l’augmentation de leurs produits et en cas de baisse du prix du sucre ils doivent aussi baisser le prix de leurs produits. A cette occasion, critiquant l’absence totale de communication des producteurs algériens, Boulenouar a appelé ces derniers à informer les consommateurs en cas de hausse et de fixer la date et la marge d’augmentation de leurs produits dont la matière première est le K. par Admin Le 22 Juillet 2021 52 visites Profitant de la forte demande sur certains produits alimentaires et de la fermeture de nombreux commerces, des commerçant ont augmenté les prix à leur guise durant ces deux jours de fête. En dépit d’une situation sanitaire préoccupante, les mosquées ont fait le plein de fidèles pour la prière de l’Aïd El-Adha à Jijel. Si certains ont pris le soin de se protéger en portant un masque, d’autres, et ils sont nombreux, ont tout simplement négligé les mesures barrières et de distanciation physique. Des citoyens ont toutefois préféré accomplir leur prière à l’extérieur des lieux de culte, mais dès la fin de la prière les embrassades et les accolades n’ont pas manqué pour échanger les vœux de l’Aïd. Et c’est dans un contexte sanitaire difficile que les célébrations de cette fête religieuse se sont déroulées dans la bonhomie pour certains, mais dans le deuil et l’appréhension pour d’autres. Au-delà de ces appréhensions, le rituel du sacrifice a été accompli sur fond de cette flambée des prix des fruits et légumes, passés du jour au lendemain presque à leur double. Accablé et éprouvé par une vie de plus en plus chère, le commun des citoyens a dû affronter une autre épreuve des dépenses pour faire face au contexte peu rassurant de l’érosion de son pouvoir d’achat. La veille de l’Aïd, les boucheries ont été prises d’assaut par de nombreux citoyens, qui ont renoncé à sacrifier un mouton. “Un peu de viande suffit”, se contente-t-on de dire devant ces boucheries, restées ouvertes pour satisfaire une clientèle de plus en plus nombreuse en pareilles circonstances. Même pour la journée de l’Aïd, la direction du commerce a établi une liste de 145 boucheries pour assurer une permanence pour cette fête. Les boulangeries ont été au nombre de 185 à être concernées par cette permanence, ce qui a permis au citoyen de s’approvisionner en pain. Le lundi d’avant la journée de l’Aïd, une certaine tension a été observée sur ce produit, même s’il est globalement resté disponible. Tout en faisant leurs précautions pour s’approvisionner en produits alimentaires de large consommation, les citoyens ont été contraints de faire plus de dépenses pour s’offrir des fruits et des légumes plus chers. Aucun de ces produits n’a été épargné par une hausse vertigineuse, à commencer par la pomme de terre, en passant par la laitue, les courgettes et les carottes, pour ne citer que ces produits, très demandés. Les fruits n’ont pas été en reste et ont pris plus de dinars qu’il n’en faut. “Je l’ai acheté à 130 DA, le voilà aujourd’hui à 180 DA”, dénonce ce citoyen, qui s’élève sur l’augmentation du prix du raisin. La tomate, qui connaît une production abondante à Jijel, est passée de 25 à 60 DA. La spéculation et surtout la cupidité de certains ont contribué à cette hausse qui n’a pas manqué d’éprouver le citoyen, contraint de gesticuler pour joindre les deux bouts. Quoi qu’il en soit, la fête de l’Aïd est passée non sans saigner un citoyen désormais pris dans l’engrenage de ces circonstances qui font perdre à une telle fête sa dimension religieuse. Après la fête, place à l’appréhension de cette situation sanitaire qui reste la principale préoccupation des citoyens à Jijel. Source La Liberte Algérie – La mercuriale s’enflamme ! Depuis le début du mois sacré, les Algériens n’arrivent plus à suivre. Dzair Daily vous en fait le témoignage et vous rapporte les prix des fruits et légumes, mais aussi des viandes en Algérie. C’est dans la suite de cet article du 11 avril bourse du citoyen moyen se réduit comme une peau de chagrin. Particulièrement durant ce mois sacré, ou la demande est d’autant plus forte, notamment en matière de produits alimentaires. D’ailleurs, les prix des fruits et légumes ont augmenté de façon fulgurante en Algérie, et il en est de même pour les viandes blanches et suffit de faire un tour dans les marchés et dans les boucheries pour se rendre compte de l’ampleur du phénomène. La première dizaine du mois sacré est passée et avec elle une partie de la bourse du citoyen. Ce dernier ne ne trouve plus comment faire face à cette hausse incessante des prix. D’autant plus que les produits de grande consommation qui étaient autrefois épargnés, sont fortement touchés ces dernières titre d’exemple, la pomme de terre est devenue inabordable. Surtout pour les grandes familles. Elle est affichée à 125 DA le kg. La tomate est à 110 et la courgette à 130 DA le kg. La salade est affichée à 230 le kg et le concombre à 150 DA. Le poivron quant à lui est cédé à 180 DA le kg. Et malgré la baisse constatée des prix au niveau des marchés de gros ces derniers jours, les détaillants continuent d’appliquer ces prix conséquente de tous les produits alimentairesIl faut dire que cette année, les fruits sont les grands absents des tables ramadanesques. Et la raison en est très simple. Ils sont tout simplement hors de portée. La banane a atteint le prix record de 700 DA. La pomme est affichée à 500 DA tandis que la boîte de fraises de saison est cédée à 400 DA. C’est en tout cas ce que rapporte ces prix ne sont rien comparés aux tarifs appliqués par les bouchers. Il faudra en effet compter DA pour un kg de viande de mouton, et DA pour le même poids de viande de bœuf. Le poulet, qui était à la portée des ménages moyens est désormais un produit de luxe. Il se vend à 440 DA le kg. Il en est de même pour les œufs, le plateau ayant atteint le prix de 460 DA.

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